Some Minor Noise - "Coffers" EP

Vous ne connaissez pas Some Minor Noise? N'attendez plus et venez découvrir cette incroyable duo électro(...)

Wann - "Birth" EP

WAAN est le projet musical réunissant les artistes Nekochan et Hubwar. Il ne s’agit pas de la juxtaposition de deux univers musicaux, mais bien d’une fusion artistique(...)

Goldfish - "One Million View" VIDEO

Goldfish revient avec un tout nouveau single intitulé "One Million View"(...)

AM & Shawn Lee - "La Musique Numérique" LP

"La Musique Numérique" allie parfaitement la pop élaborer d'AM au style musical de son confrère Shawn Lee(...)

MØ - "Waste of Time" VIDEO

MØ revient avec un nouveau morceau intitulé "Waste of Time"(...)

lundi 15 avril 2013

MØ - "Glass" (Official video)


 Karen Marie Ørsted, 23 ans, est Danoise et partage avec ses copines une conception sans chapelles de la musique, confessant autant son admiration pour les Spice Girls que pour Santigold (tiens, encore elle). Elle travaille aujourd’hui sur son tout premier album après nous avoir abreuvé de quelques premiers morceaux séduisants qui l’ont placée en tête de meute. Notamment « Pilgrim » et son mélange de triturations vocales et de cuivres chaleureux. Vocalement la plus soulful du lot, Karen est sur les bons rails pour la gloire, signalée par toute la presse et présente dans tous les festivals qui comptent, du South By Southwest d’Austin au marathon du CMJ Festival à New York. Elle incarne la relève la plus sérieuse de Lykke Li (le point commun évident de toutes ces jeunes pousses nordiques) tout en offrant une alternative crédible à Grimes. Mais là où certaines de ses collègues semblent un peu effacées derrière des teams de producteurs souvent envahissants en Scandinavie, garde une aura très personnelle qui la fera sûrement sortir du lot.



(Via Greenroomsession.fr)

Pretty Lights - "Around The Block" (Official Vidéo)


 Around The Block nous rapproche de l'été, on en sentirais presque les tartines, la confitures et la biafine.
Ce titre est le premier single du nouvel album de Pretty Lights,  A Color Map of the Sun, qui sera publié le 2 Juillet 2013. En attendant ce jour, voici le clip qui comporte par ailleurs le talentueux BKMC Talib Kweli.


Revolver - "Still" (Official Vidéo)


 Revolver est de retour avec le clip du titre Still extrait de leur dernier album, Let Go, sorti en Septembre 2012. Une douce ballade romantique à l’allure rock clipé sur fond d’une drôle d’histoire au sujet d’une boule à facette qui va faire un très long voyage à travers de magnifiques paysages.


(Via Watmmagazine.com)

Daft Punk - "Get Lucky" (Pharrell Wiliam & Nile Rodgers) 2013


C'est sans doute le retour le plus attendu de l'année. Daft Punk, qui n'avait pas publié d'album studio depuis Human After All en 2005, s'apprête à envahir les bacs le 20 mai avec Random Access Memories, son quatrième album. 

Les informations sur ce nouveau disque sont distillées au compte goutte mais on sait déjà qu'il contiendra 13 titres aux collaborations prestigieuses : Nile Rodgers (guitariste de Chic et producteur d'albums de légende pour Diana Ross, David Bowie, Grace Jones...), Giorgio Moroder, Panda Bear ou Pharrell Williams. Des collaborateurs présentés sous forme de plusieurs épisodes vidéos sur le site du groupe. 

C'est Pharrell qui ouvrira les festivités puisqu'il apparaît sur le premier single extrait de ce nouvel album, "Get Lucky", en diffusion intégrale dès aujourd'hui. Un morceau résolument funk sur lequel on retrouve le fameux son du duo français et qui rappelle les meilleurs moments de l'album Off the Wall de Michael Jackson, dont on retrouvera certains musiciens sur le disque.


Daft Punk a commencé la conception de Random Access Memories en 2008, un album sur lequel le groupe a laissé quelque peu tomber les machines pour privilégier le travail avec des musiciens de studio et qui s'inspire des sonorités des années 70 et 80.


(Via Ptitblog.net)

Yeah Yeah Yeahs - "Mosquito" LP



 Survivants de la scène art-rock new-yorkaise du début des années 2000, plus connue pour ses effets de style que ses tubes, Yeah Yeah Yeahs poursuit sa route patiemment, avec un quatrième album au nom et à la pochette pour le moins déroutants : Mosquito. S'éloignant quelque peu de ses amours electro-rock, le trio s'essaie tout aussi bien au gospel qu'au roots reggae, avec une énergie débordante. 

 La sortie de It's Blitz en 2009 avait affolé la presse musicale : ils étaient nombreux à crier que cet album plein de pépites pop ne pouvait que rejoindre la sphère mainstream. Porté par des singles surpuissants comme Heads Will Roll et Zero, It's Blitz a fait son petit bout de chemin. Mais le groupe -composé de Karen O (chant), Brian Chase (batterie) et Nick Zinner (guitare)- est demeuré assez confidentiel en-dehors de la blogosphère indie. Karen O, s'est depuis affairée, rejoignant le monde du cinéma à plusieurs reprises. Elle a notamment composé la bande-originale de Where The Wild Things Are, dans un style folk délicat. Elle a aussi interprété la chanson d'ouverture de The Girl With The Dragon Tattoo, en collaboration avec Trent Reznor, leader de Nine Inch Nails et figure montante du genre (un Oscar pour sa B.O. de The Social Network, excusez du peu).

Une influence que l'on retrouve sur Buried Alive, en featuring avec Dr.Octagon, personnage créé par le rappeur américain Kool Keith. La guitare empressée, la basse dense et le beat efficace en feraient un parfait générique d'un film d'action ou d'un comic sombre comme Sin City. Une instru travaillée par les soins de James Murphy, leader de feu (et regretté) LCD Soundsystem, prodige s'il en est de l'electro-rock. C'est la première fois que le groupe s'essaie au duo rock/rap, et c'est une réussite.

 Mosquito est en fait une expérimentation à lui seul. Les inhibitions se sont envolées, et Yeah Yeah Yeahs a levé l'ancre vers des ailleurs inexplorés. L'album commence très fort avec Sacrilege, premier single au clip cinématographique, à nouveau. Après quelques secondes d'intro susurrée, batterie puis guitare carillonnante rejoignent la ligne de basse ronronnante, pour un refrain extatique. Surprise : des choeurs gospel s'invitent aux trois quarts du morceau, pour un final puissant, à donner des frissons. Ecrit à la Nouvelle-Orléans, on y retrouve le mystère de cet Etat américain aux nombreuses légendes. Le groupe se fait aussi plaisir sur la déjantée Area 52, faisant référence à l'Area 51, lieu de pèlerinage pour ceux qui croient aux petits hommes verts (comme c'est le cas du bassiste). Difficile de décider si ce pastiche de générique d'animé, est le fruit du génie ou pas.

 Dans un tout autre genre, Yeah Yeah Yeahs s'essaie aussi au roots reggae, la forme la plus connue de reggae, alliant sonorités rock chaloupées et paroles mystiques. Karen O a notamment cité le musicien jamaïcain Dadawah (Ras Michael) comme source d'inspiration. Under The Earth en est directement née : basse ensorcelante, synthés asiatiques (coucou Phoenix et son Entertainment) et percussions tropicales en font un exquis cocktail dansant. Tout comme la très punchy et décalée Mosquito, très éloignée de ce qu'ils ont pu faire jusqu'à présent. Seul indice montrant qu'il s'agit bien des Yeah Yeah Yeahs : le chant atypique de Karen O, rappelant parfois celui de Marilyn Manson, tour à tour lancinant et percutant, grinçant (These Paths) ou profond (Slave). Il faut aussi dire que les paroles sont pour le moins fantas(ti)ques : « Mosquito sing/Mosquito cry/Mosquito live/Mosquito die/Mosquito drink most anything/Whatever's left/Mosquito scream/'I'll suck your blood' » (« Moustique chante/Moustique pleure/Moustique vit/Moustique meurt/Moustique boit presque tout/De ce qu'il reste/Moustique crie/'Je sucerai ton sang' »)


 A part le roots reggae, le trio fait un nouvel usage des synthés, vaporeux façon Air. Comme sur These Paths, un tantinet trop longue mais intéressante dans ses divagations sonores. Always surfe sur cette même vague, un joli tempo hawaïen en prime. Mais il n'en oublie pas pour autant ses racines : Subway est un hommage à New-York, célébré par son underground sombre, dont le cliquetis paisible est recréé. Slave nous montre que  Yeah Yeah Yeahs n'a pas encore épuisé ses ressources alternatives, tout aussi sombres que glamours, mais avec une basse bien plus présente que sur ses précédents disques. Despair -offrant une belle montée en puissance portée par la batterie- et Wedding Song concluent l'album sur une teinte post-punk rappelant The Raveonettes.

 Mosquito en surprendra plus d'un, tant il s'éloigne du passé de Yeah Yeah Yeahs. Il faut quelques écoutes pour en prendre toute l'ampleur. Son énergie est en tout cas communicative, et on ne peut que se réjouir de voir le groupe demeurer créatif et ambitieux. Agité, dansant, calme, il ne vous laissera, à coup sûr, pas indifférent.

Merci à Morgane Giuliani pour cette chouette chronique.(Via Welovemusic.fr)

Lunivers - " Happy Route" EP



 Oof et Lena Kaufman sont Lunivers à eux seul.  Faisons un bout de Happy Route avec eux.

 Oof aka Jaïs Frederic Elalouf est le boss de la Ping Pong Agency (Une boite de com qui travaille pour les labels Ninja Tune, Brainfeeder etc..) il baigne depuis longtemps toujours dans la musique électronique avec un grand E; Mais ce DJ/VJ Oof est surtout connu pour ses frasques Visuelles. Lena Kaufman quant à elle, est une chanteuse russe et douée. Propulsées par l’équivalent moscovite de notre Nouvelle Star, Lena a déja sorti un album de Trip Hop et a aussi poussé la chansonnette dans Buddha Bar aux cotés de son groupe Triangle Sun. A eux deux ils proposent un bijou bisou de musique électronique. Un hymne à l’amour à mi chemin entre trip hop et electro pop. On retrouve aussi les ciseaux « vidéo » de Dj Oof sur le titre Moi Mua qui empreunte des samples de voix à une dizaine de films. Un titre qui se comprends naturellement mieux en vidéo. Let’s Play !


(Via Musikplease.com)

Photo - "Tied & Bound" Premier Maxi

D’un côté, une musique enivrante, mélodique et puissante qui donne envie de danser sur un son riche et vivant. De l’autre, les méandres d’un labyrinthe de rythmiques et de textes profonds à la poésie aiguisée. Photo, c’est une expérience riche et complexe, c’est le chaud et le froid, le feu et la glace, la chaleur d’un groove puissant marié à une cold-wave revisitée. Une musique onirique avec un regard porté sur l’avenir. 




 Groupe de rock formé à Paris en 2009, PHOTO est actuellement composé d'Antoine Bretillard (chant/claviers), son frère Augustin (guitares/claviers), Pascal Kouyoumdjian (basse) et Théo Amoureux (batterie). Pour la scène, ils sont rejoints par Kevin Vergobbi (violoncelle/claviers/choeurs).
 Ensemble, ils se sont engagés dans la réalisation d'un premier EP avec le label Sober & Gentle, intitulé Tied & Bound,sorti ce lundi 15. « Atlanta », dont le clip est en ligne depuis le 4 février 2013, est le premier single de cet EP.

Bonobo - "The North Borders" LP



 Voilà à peu près 15 années que Simon Green a fait de la chirurgie musicale son job à plein temps. 15 ans que l’anglais fouille les méandres de l’abstract hip-hop. Tantôt trip-hop, tantôt instrumental, tantôt downtempo, Bonobo est un touche à tout exceptionnel, qui assemble ses sons comme un puzzle musical géant.
L’idée même du voyage sonore semble l’habiter continuellement si bien que chacun de ses albums sont de véritables fresques sonores. Et il en fait sa signature, en se renouvelant chaque fois, pour le plus grand plaisir (ou de l’orgasme ça dépend) de nos tympans.



 "Cirrus" , le premier extrait dévoilé par Bonobo revient aux sources même de l’artiste, le morceau nous rappelle aisément son second album, « Dial’M For Monkey« . Le clip quant à lui est une petite merveille de réalisation. Fait de découpages et de collages vidéos, le rendu est un véritable miroir du travail sonore de l’artiste. Les images s’emboitent et se ré-emboitent jusqu’à qu’on commence à se demander si les champignons de notre déjeuner n’étaient finalement pas hallucinogènes.
 Bonobo signe une nouvelle performance remarquable avec The North Borders . Ce nouvel opus illustre très justement la progression de l’artiste tout en gardant l’authenticité et la justesse émotionnelle que nous lui connaissions.
Une succulente gâterie pour nos oreilles.

Bonobo- the north borders by Kaosprod on Grooveshark

(Via Cultiz.com)



Dolor - "Misteria" EP


 Misteria, premier EP de Dolor n'est pourtant pas son coup d'essai. Le producteur originaire de Chicago a déjà fait pas mal de bruit il ya un an, d'abord avec ses réinterprétations acclamés et approuvé de The Weeknd, pistes largement remaniée , puis avec l'excellente mixtape Drugs, produits en collaboration avec Lorn sous Ninja Tune. Comme prévu, l' EP de cinq titres débarque dans un terrain similaire, beats sombres et des textures sonores envoûtantes et obscures. Une création largement inspirée du  R & B, hip-hop, trip-hop.... Dolor utilise également sa propre voix.



Bastille - "Bad Blood" LP



Après des débuts remarqués, notamment lors de la sortie d'un premier EP en 2011, Bastille a savouré son ascension et pris son temps avant de livrer son premier opus. Quelques gros festivals britanniques au compteur, des premières partie pour les Two Door Cinema Club, et la même coiffure (toujours aussi fièrement arborée par leur leader Dan Smith), à en faire pâlir d’envie Elizabeth II, il n’en fallait pas plus pour que le quatuor londonien soit aussi étroitement attendu au tournant avec son premier effort Bad Blood. 



 Et le résultat valait la peine d’attendre quelques mois ; en attaquant d’emblée ce premier album avec leur nouveau single Pompeii le ton est donné : épique est l’adjectif qui conviendra le mieux pour décrire l’opus dans sa globalité. Avec des épanchements pouvant parfois rappeler ceux d’un Patrick Wolf, nos quatre londoniens se transforment en hussards parés pour la bataille, entamant à plusieurs reprises des "Hey ho" aux échos à la fois guerriers et entremêlés de sérénité, repris en chœur tout au long de l’album.

 Bastille semblent par ailleurs avoir trouvé la recette efficace pour produire des hymnes tels que Things We Lost In Fire, Overjoyed ou These Streets : la voix céleste de Dan Smith y démarre calmement, seulement accompagnée de quelques notes de piano. Puis le tempo s’accélère progressivement pour déboucher sur un refrain des plus entêtants à renfort de guitares et grosses batteries. A l’inverse certains titres se veulent et s’assument d’emblée plus énergiques, plus efficaces sur la durée, comme le single Flaws ou encore l’excellentissime Weight Of Living, Pt.II qui devrait bientôt squatter toute la bande FM.



(Via Soundofviolence.net)

Triomphe - "Pavane" EP


 Musique rétro-futuristes, imaginaire nostalgique et classieux, Alexandre Chatelard et Charles-Baptiste on dû ingurgiter les oeuvres complètes de Michel Legrand et Jean-Michel Jarre (et ce n'est pas une insulte).

 

Premier single ce lundi d'avril, l'album devrait suivre dans l'année.

Pyyramids -"Brightest Darkest" LP


Pyyramids est l’union sombre et mystérieuse de Tim Nordwind (OK Go) et Drea Smith (He Say/She Say), deux esprits créatifs réunis grâce à une passion commune pour la première vague de post punk britannique et les groupes mancuniens des 80′s. En 2011, leur premier EP, Human Beings, remporte un très gros succès sur le label Paracadute Records. Aujourd’hui ils reviennent avec un premier album intitulé Brightest Darkest Day. Dix morceaux dont certains déjà bien encrés dans nos esprits. Sortie ce 15 Avril.




(Via Watmmagazine.com)